Comment tirer le meilleur parti de vos données géographiques ?

L’édition 2012 des Rencontres SIG La Lettre se concentrera sur l’optimisation des données géographiques of free porn. À l’heure où l’accès aux données est facilité, il est urgent de s’interroger sur les modes de stockage et d’échanges, sur les analyses et les présentations possibles, afin d’éviter de constituer des silots de données sous-exploitées. Les conférences seront organisées en sessions thématiques d’une journée, complétées par des sessions techniques à la demi-journée. L’appel à proposition est ouvert du 15 septembre au 2 décembre 2011. N’hésitez pas à nous proposer une intervention afin d’alimenter la réflexion collective.

Trois journées thématiques :

  • Déplacements et mobilité
    • Le développement des plans de déplacements (d’entreprise, urbains), des exploitations des enquêtes origines/destination posent de nouvelles questions en termes de modélisation et de représentation des données spatio-temporelles. Quel est l’apport des SIG ? Comment utiliser la cartographie animée ? Cette journée s’articulera autour de retours d’expériences et de présentations techniques.
  • Aménagement numérique des territoires
    • Opérateurs, collectivités, services de l’État viennent présenter leurs projets et leurs premières réalisations dans le développement du haut débit.
  • Portraits de territoires
    • Observatoires, marketing territorial, systèmes décisionnels… les SIG servent à dresser des portraits de toutes sortes de territoires, de leurs habitants, de leurs « consommateurs », en perpétuelle mutation. Quels modes d’analyse privilégier (par grille ? selon des découpages personnalisés ?) ? Quelles données exploiter (INSEE ? producteurs privés ?)… Cette session s’adresse aussi bien aux organismes publics que privés.

Sept sessions techniques :

  • Mieux exploiter l’imagerie spatiale
    • L’imagerie est devenue bien plus facile d’accès. Mais elle reste largement sous-utilisée, souvent limitée à la visualisation ou servant à alimenter des études ponctuelles. Pourtant, elle peut être utile aux géomaticiens pour la mise à jour de leurs référentiels ou suivre l’évolution de leurs territoires selon des problématiques variées (ubanisation, agriculture, sites sensibles…).
  • Open Data : quand, comment et pourquoi se lancer ?
    • Le mouvement open data n’en est qu’à ses débuts. Chaque semaine voit son lot d’annonces médiatisées. Mais quelles leçons tirer de ces premières expériences, loin de toute langue de bois ?
  • INSPIRE : comment préparer concrètement ses données et services ?
    • Les modèles de données et les formats imposés par INSPIRE vont devoir être pris en compte par tous les acteurs concernés. Comment mieux se préparer sur différentes thématiques et tirer ainsi le meilleur parti de la directive ?
  • Intégrer des données Lidar : pourquoi et comment ?
    • Les projets d’acquisition Lidar se multiplient, en aérien ou via des véhicules mobiles. Comment ne pas se retrouver enseveli sous des terraoctets de données inexploitables ? Quelles applications peuvent s’enrichir de ce nouvel apport ?
  • Des bases centralisées au Cloud : quels outils, quels bénéfices, quels risques et quel avenir ?
    • Certains ont mis leurs données en base depuis longtemps. Quelles leçons tirent-ils de leur expérience ? Les gestionnaires de bases évoluent, notamment dans le domaine de la gestion raster. Derrière des mots comme cloud, hébergement, SAAS se cachent des choix techniques qu’il est important d’éclairer.
  • Géocollaboration : outils techniques, précautions d’usages
    • Comités de quartiers, citoyens capteurs, géographie volontaire… comment organiser la géocollaboration et sur quels outils (techniques, juridiques) s’appuyer pour une application réussie ?
  • WebSIG : Et si on parlait un peu d’ergonomie ?
    • Les WebSIG, les sites Internet, les applications mobiles… les géomaticiens disposent désormais d’outils pour développer toutes sortes d’interfaces exploitées par des utilisateurs plus ou moins néophytes. Quelles précautions prendre en matière d’ergonomie pour assurer une meilleure capacité d’utilisation de vos applications ?

A propos de Rouge Vif

L’Agence Rouge Vif est une Agence de Communication publique, créée il y a 20 ans. Elle est située à Trappes-en-Yvelines (78) au cœur du bassin économique de Versailles, Saint-Quentin-en-Yvelines, Saclay. Elle dispose également d’un établissement dans l’Hérault. L’Agence Rouge Vif, c’est avant tout une passion pour la communication institutionnelle dans laquelle s’impliquent ses 18 collaborateurs, tous de formation supérieure. Rouge Vif intervient pour accompagner et mettre en œuvre la réflexion stratégique de ses clients grâce à son expérience et son expertise des différents outils de communication. Une organisation par pôles de compétence permet à ses clients de disposer d’équipes projets cohérentes pour répondre à leurs besoins en termes :

  • d’audit, de conseil et d’accompagnement (15% du CA)
  • de presse et de communication éditoriale, (45% du CA)
  • de communication institutionnelle et opérationnelle (25% du CA)
  • d’intégration des outils du web au cœur de leur stratégie de communication (15% du CA)

Chefs de projets, consultants, journalistes, graphistes, webdesigners constituent :

  • une force de proposition : du conseil stratégique au positionnement éditorial et à l’écriture
  • une force créative : de la mise en pages à la fabrication
  • une force d’organisation pour la communication opérationnelle et événementielle

Rouge Vif travaille à 60% pour le secteur public (collectivités territoriales, ministères, CCI, parcs naturels, établissements publics) et à 40% pour le secteur privé (banques, entreprises industrielles et de haute technologie, BTP), essentiellement des grands comptes. Véritable partenaire de ses clients, Rouge Vif leur apporte notamment son expertise et sa maîtrise du conseil éditorial, de la conception et de la gestion des contenus éditoriaux papier ou électroniques jusqu’à la fabrication ou la publication. Le chiffre d’affaires prévisionnel en 2009 est de 2 000 000 euros HT en croissance régulière de 20% par an depuis 2004.

Mercredi 4 avril de 18h à 20h : Géocafé : Ciné-map ou les cartes en action

Thierry Joliveau et Sébastien Caquard et tous les contributeurs du site Espace et fiction vous invitent à échanger autour des géodispositifs (cartes ou autres) présents dans les films. Après une présentation de quelques scènes emblématiques, chacun pourra apporter son expérience et nous analyserons ensemble comment les cartes et d’autres modes de représentation de l’espace sont activés dans les films de fiction. L’utilisation des cartes, techniques de géolocalisation, images satellites se répand dans les films et les séries. Jack Bauer et un véritable héros géonumérique tandis que le monde de science fiction de Minority Report semble se rapprocher à grande allure. Il existe également une dimension poétique liée aux cartes, et elles peuvent parfois nous raconter des histoires… dans l’histoire. Le blog Espace et fiction tente de répertorier et d’analyser les dispositifs spatiaux présents dans les œuvres d’art, notamment les films de tous genres et de toutes origines. Chacun peut y contribuer. L’objectif de cette soirée est de partager ses expériences, ses surprises et d’enrichir un catalogue qui ne demande qu’à grossir.